Écrit par - Publié le 29 Juil 2015 à 14:25

Alors que son prochain album se fait attendre, Katy Perry a pris la pose pour l'édition japonaise de Vogue. Cheveux courts et décolleté, Katy Perry lance les firewooooooorks.

Entre les répétitions de sa tournée et sa prise de position dans le clash Taylor Swift/Nicki Minaj, Katy Perry a pris le temps de poser pour l’édition de septembre de Vogue Japan. C’est sur Instagram que la chanteuse a partagé un cliché très sexy de son photoshoot. On la voit allongée sur le côté, en culotte et soutien-gorge pigeonnant, emmitouflée sous un manteau de fourrure. Les cheveux courts et l’oeil charbonneux, Katy Perry séduit l’objectif comme sur la cover où elle est tout sourire dans une robe rose pastel. Vogue Japan légende la photo, à juste titre, d’un « POP GLAMOUR », deux qualificatifs qui conviennent parfaitement à l’artiste de 30 ans. Sur d’autres photos, Katy Perry vogue entre photos arty et ambiance street. Côté pop musique, il vient d’ailleurs d’être annoncé par Steven Jensen, le manager de Katy Perry, que son prochain album sortirait à la fin de l’année 2016.

Un album qui devrait permettre à Katy Perry de rester la chanteuse la mieux payée au monde. En effet, Forbes a annoncé au début de l’été que Katy, avec ses 135 millions de dollars par an, dépasse les Taylor Swift, Beyoncé, Jennifer Lopez et compagnie. Le magazine lui consacrait donc sa Une sur laquelle on la voit porter une veste brodée de dollars. CQFD. A l’époque, Katy expliquait sur Instagram : « Avant d’accepter l’offre d’être sur la couverture de Forbes, on m’a dit que beaucoup de femmes avaient déjà hésité à le faire. Je me suis demandée si c’était parce que socialement, ce serait apparu comme de la vantardise ou si ce n’était pas une décision humble. Mesdames, il y a une différence entre être humble et travailler dur pour voir le fruit de votre travail, et vos rêves se réaliser. Espérons que cette couverture puisse être une source d’inspiration pour les femmes et que le fait d’être fière de sa réussite durement gagnée soit normal, et qu’il n’y ait plus de honte à être le chef. » Bien dit !