Écrit par marinepn - Publié le 18 Jan 2021 à 08:19

Comme chaque matin, Nico pousse son petit coup de gueule. Cette fois, on parle des plaques d'immatriculation. 

Vous le savez, lorsqu’il s’agit de râler, Nico n’est pas le dernier. Et justement, ce matin, il jette son dévolu sur les autocollants de plaques d’immatriculation. On vous explique.

D’abord, il faut savoir que la configuration des plaques telle que nous la connaissons (à savoir deux lettres, trois chiffres, deux lettres) est en vigueur depuis le 15 avril 2009. « La référence au département d’origine disparaît et seul un petit espace vertical est réservé au logo régional », explique France 3. Or, depuis, la « tendance » de placer un autocollant de sa région d’origine à la place le logo régional en référence au lieu de domicile a pris de l’ampleur. Et lorsqu’il s’agit de ça, les départements corses – 2A ; 2B- sont particulièrement demandés. .

Sauf que la pratique est désormais interdite : « mi-janvier, la cour de Cassation a jugé, en application du Code de la route, que tous les caractères visibles sur les plaques minéralogiques d’un véhicule doivent avoir été intégrés à celles-ci par un fabricant homologué. En clair, un propriétaire ne peut aucunement décider de modifier lui-même ses plaques, entre autre avec un autocollant », explique toujours France 3. Sachez que lors d’un contrôle, un conducteur roulant avec des plaques comportant un autocollant s’expose à une amende de 135 euros pour « circulation d’un véhicule à moteur avec une plaque d’immatriculation non conforme ». En cas de récidive, elle peut atteindre les 750 euros.

Vous voilà donc prévenus !