Écrit par finch2k - Publié le 31 Mar 2015 à 04:00

Vous essayer actuellement de perdre du poids ? Ou bien vous envisagez d'entamer un régime prochainement ? europe2.fr a un petit conseil à vous donner pour mettre toutes les chances de votre côté !

Faire du sport, manger cinq fruits et légumes par jour, ne pas grignoter entre les repas… Lorsqu’il s’agit de perdre du poids, tous les moyens sont bons et certaines personnes semblent prêtes à tout essayer pour parvenir à leurs fins ! Vous me direz, rien d’anormal lorsqu’on sait que la plupart des femmes sont complexées par leur poids… Mais au milieu de tous ces régimes à l’efficacité non vérifiée et des remèdes de grand-mère habituels, il existe deux ou trois petits conseils à mettre en pratique afin de se retrouver dans les meilleures conditions pour éliminer ses kilos superflus : l’enquête du jour signée l’INSV (Institut National du Sommeil et de la Vigilance) établit ainsi un lien direct entre le sommeil et l’obésité ! Comprendre, les obèses dorment moins bien que le reste de la population et les personnes qui rencontrent des troubles du sommeil se révèlent bien souvent être en surpoids…

En d’autres termes, bien dormir, c’est bon pour la santé, les poches sous les yeux … et votre poids ! Après tout, si les françaises ont pris deux kilos en quarante ans, c’est peut-être parce qu’elles ne dorment pas assez… D’après le professeur Damien Léger (ça ne s’invente pas), président de l’INSV, « le sommeil est considéré comme superflu par de nombreux actifs, alors que s’en priver agit négativement sur le métabolisme. Être fatigué, c’est moins bouger et avoir tendance à avaler des aliments pour reprendre de l’énergie ». Conséquence, « les courts dormeurs et les insomniaques ont tendance à grignoter et donc à moins bien suivre les recommandations du Plan national nutrition santé ». Des affirmations confirmées par les résultats de l’étude : pour les quelques 49 000 personnes interrogées, on constate que ne pas assez dormir (moins de six heures par nuit) augmente le risque d’obésité de 34% chez la femme et de 50% chez l’homme ! Quant aux insomnies, elles ont par exemple 43% plus de chances de toucher une femme obèse qu’une qui ne l’est pas…