Écrit par marinepn - Publié le 19 Avr 2018 à 15:00

Bonne ou mauvaise idée ? La Casa de Papel aura bel et bien une troisième partie et pour être totalement honnête, on est aussi surexcités que sceptiques. 

C’est officiel ! Les fans ont espéré et visiblement, ils ont été exaucés : une troisième partie de la Casa de Papel est bel et bien dans les cartons. Sur le moment, on a sauté de joie. Mais après, avec le recul, on s’est dit que c’était risqué : le créateur de la série l’a dit, la Casa de papel, c’est un braquage de 136 heures – ni plus , ni moins. Alors, était-ce vraiment une bonne idée de rempiler ? Maintenant que Netflix est au commandes, on peut commencer à spéculer sur les possibles suites. Mais par contre, il y a quelques pièges à éviter.

LE SYNDRÔME PRISON BREAK

Le syndrôme Prison Break, c’est prendre le risque de se répéter. On a vu El Profesor et son équipe faire le plus grand casse du siècle alors évidemment, on les imagine mal rempiler : ils ont assez d’argent pour entretenir 10 générations (l’enfant de Monica a de quoi voir venir). Un nouveau braquage ? Un nouveau jeu du chat et de la souris avec la police ? Ce serait risqué : on a déjà tout vu, ils ont déjà tout fait. Si jamais la troisième partie partait dans cette direction, on aurait plus qu’à espérer qu’elle ne soit pas répétitive.

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L’APRES

Maintenant, ils sont tous fugitifs. A la fin de la série, Raquel partait retrouver le professeur. Et on ne va pas vous mentir, on a pas envie de passer d’une série pleine de suspense, intense et haletante à une telenovela. On est pour les happy end mais dans la mesure du raisonnable. Alors si jamais on repartait de là, il y aurait deux directions possibles : soit Raquel se joint à un potentiel braquage, soit elle trahit le professeur et le fait arrêter. Et ça, on a peu de mal à l’avaler.

On ne sait pas ce que réserve Netflix et bien évidemment, rien n’est encore écrit. On saura quelle direction prendra la série en 2019, lors de sa diffusion. Le seul risque ici, c’est de ne pas faire la partie de trop.