Écrit par - Publié le 21 Juin 2019 à 21:05

Pour leur première venue à Solidays, le duo Ofenbach a mis le paquet. On vous raconte. 

Ils sont beaux, ils sont jeunes, ils ont du talent et ça marche ! Leur histoire pourrait se résumer ainsi. Pourtant, le duo Ofenbach est loin de se la raconter. Au contraire, on pourrait même dire qu’ils ont les pieds très bien ancrés dans le sol (en boots rock’n roll tout de même). Épaulés par Europe 2 depuis leurs débuts, Dorian Lauduique et César de Rummel n’ont pas hésité une seconde lorsqu’on leur a demandé un entretien et un reportage d’eux au festival de Solidays. Une exclusivité que les deux artistes ont même accepté avec plaisir. Nous voilà donc en backstage, lors de leur préparation, avant leur montée sur scène. Pas de panique, on vous dit tout.

Tout commence dans l’après-midi. Lunettes de soleil sur le nez et sourire aux lèvres, ces deux parisiens nous saluent comme de vieux potes. Et c’est aussi ça leur marque de fabrique : le naturel. Pour notre reportage, ces derniers n’hésitent pas à faire les clowns (pour rester poli). Au micro du journaliste, même chose, ils enchaînent les excentricités dans une ambiance bon enfant. Et après tout, à 25 ans, ils n’en sont pas si loin. De jeunes adultes qui accumulent pourtant déjà les succès. Après Be Mine qui les fait sortir de l’ombre, Katchi l’année suivant, c’est désormais leur dernier tube Rock It qui enflamme les scènes électro du monde entier. Et avec plus de 50 dates prévues cet été, Ofenbach n’a pas le temps de chaumer.

D’ailleurs… l’heure tourne ! Il est déjà 19 heures et le duo parisien s’apprête à ouvrir en grande pompe le bal des concerts à Solidays. Véritables têtes d’affiche à commencer ce marathon de 3 jours, César et Dorian attirent les foules. Un set d’une heure qui n’est pas pour déplaire aux milliers de festivaliers qui ont fait le déplacement. Et comme toute bête de scène qui se respecte, Ofenbach réserve une surprise à son assemblée. C’est donc en acoustique qu’ils interprètent Be Mine, leur plus grand succès. Et il n’y a pas à dire, ça marche à tous les coups !